Le développement technologique a intégré tous les domaines de la vie y compris celui de la santé. Il a énormément aidé par le passé, et même encore aujourd’hui, notamment dans la recherche biomédicale. C’est de cette façon que de nos jours le monde arrive à faire face aux fléaux d’ordre sanitaire et à installer une riposte efficace. Dans la chirurgie, des imprimantes 3D fabriquent des prothèses et des tissus. Avec la mise sur pied de plateformes numériques, les consultations en ligne sont de plus en plus courantes et permettent aux malades d’éviter les salles d’attente bondées. Il existe même aujourd’hui des capteurs biomédicaux qui arrivent à mesurer, détecter et réguler le rythme cardiaque. Les exemples de ce type aujourd’hui sont légion. Dans les lignes qui suivent, découvrez le coût de ces technologies et les conséquences pour les populations.
Biotechnologies: le coût de la vie
L’intervention de la science dans le domaine de la santé a rendu possible un tas de choses. Des maladies très répandues comme le diabète, les maladies cardiovasculaires sont restées pendant longtemps sans remède. Aujourd’hui avec l’évolution de la technologie certaines parmi elles se guérissent et pour d’autres on arrive tout au moins à augmenter l’espérance de vie des malades. Mais les traitements coûtent très cher. La réflexion sur cet épineux problème a été menée par différents gouvernements dans différentes régions du monde. Pour guérir efficacement il faut prévenir.
Aujourd’hui, tous pour la plupart reconnaissent l’urgence d’investir dans la recherche biomédicale, d’assurer la gratuité des premiers soins en particulier pour les populations vulnérables et d’utiliser davantage la technologie dans le dépistage et le traitement des maladies, en particulier des affections épidémiologiques. Pour ce faire, la mise en place de politiques régionales visant le bien-être des populations se trouvant dans un espace commun est de plus en plus reconnue comme solution à un possible allègement des coûts. La santé étant précieuse, elle nécessite que les autorités en charge s’y investissent vraiment.